Alberto Blanco
Les azulejos
Les miroirs ne chantent plus comme jadiset l'espace n'est rien d'autre qu'une larmecourant de nos yeux jusqu'au rêvequand on nous apprend une mauvaise nouvelle...
Comme quand monte la tristessedans une discussion qui n'a pas plus de raison d'êtrequ'une subite multitude de refletslorsque le vent change de directionen pleurant un petit bout de réalité.
Ce n'est pas la fumée qui nous a fait mal,ni la liqueur, ni la mélancolie...Ce sont les paroles que nous avons prononcéescernés que nous étions par tous ces azulejosqui chantent un blues dans le brouillard.
La maison des Azulejos à Mexico
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